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mardi 30 octobre 2012

Avant j'étais dépressive. Maintenant, je suis défoncé !




Hier, j'ai donc pris mon courage a deux mains pour aller chez mon médecin de famille demander de l'aide. 

Elle m'a écouté, elle a été douce, compréhensive

Elle a décidé de me mettre sous anti-dépresseur et calmant avant d'envisager d'autre possibilité. Elle veut essayé ce traitement, pour essayé d'évité un séjour un l’hôpital. J'ai trop attendu.

Elle envisage une psychothérapie par la suite. 



Le traitement est a l'essai durant 15 jours. De l'Effexor pour la dépression, et de l'Alprazolam pour me calmer. L'Alprazolam étant un médicament avec beaucoup d'effets secondaire, elle ne veut pas que j'en prenne longtemps. Il crée aussi une forte dépendance a long terme.

Elle avait peur a des interactions avec le traitement du neurologue, mais je lui ai dit que je ne le prenais pas. La raison, c'est qu'il m'a dit que je faisais des céphalées de tension. Je me suis alors renseigné sur des sites médicaux, qui m'ont appris que ca n'avait pas de cause physique, mais bel et bien psychologique. Donc je me suis dit qu'il valait mieux soigné la cause que le mal. Donc ma dépression.


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Depuis hier soir, j'ai commencer ce traitement. Je suis d'un calme extraordinaire. J'ai l'impression de flotter un peu. Défoncé quoi ! 


J'ai eu quelques effet secondaire ce matin. Une impression de déjà vécu très désagréable. Comme un début de grossesse. 

Heureusement, il me restait du Gaviscon !

Le truc qui m'ennuie le plus avec ces médicaments, c'est que je ne peux normalement pas conduire. Et vu que je suis la seule détentrice du permis dans la maison, ca complique les choses. Je verrai si j'ai les effets secondaires qui empêchent la conduite d'ici quelques jours... En attendant, pas de prise de risque inutile : j'ai des pieds !


****


C'est con, mais pour une foi, je fière de moi. Parce que j'ai réussi a prendre le dessus et a parler. 

Je n'ai bien évidement aucun soutien familial. Mon homme ne savait pas que j'étais allé chez le médecin  Et lorsque je lui ai dit pourquoi, il m'a dit que ça ne servait a rien, que j'avais qu'a me calmer et arrêter de me prendre la tête pour rien. J'aimerai qu'il se renseigne sur la "maladie" avant de me juger si hâtivement  Du coup, j'ai clos le sujet. Je ne veux pas en parler avec lui, je ne veux pas qu'il me coupe dans mon élan. 

Je veux guérir !

La route sera longue, mais j'en sortirai !


6 commentaires:

  1. tu as raison tu peux etre fière de toi!! une spychotérapie c'est tjs utile (bien mieux que l'hopital non?) j'en ai fait une ado et tu en sors grandi, meme si ça ne se dit pas trop...

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  2. Courage ! :) Tu vas y arriver !

    Des bizous !! <3

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  3. J'étais trop naz pour venir sur WoW hier soir... J'avais pourtant bien envie d'aller papoter avec toi ! J'espere que j'y arriverai ce soir ! ;)

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  4. Pour être déjà passée par là, bravo à toi. Pour les traitements, bon, je ne suis pas fan, voire carrément contre me concernant, mais je comprends tout à fait qu'ils puissent t'aider à remonter la pente dans un 1er temps. L'alprazolam notamment m'a beaucoup aidée lors de mes crises de panique. Courage pour la thérapie à suivre, c'est le plus gros morceau, mais aussi celui qui te fera le plus de bien ♥

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  5. Merci pour tes mots :)

    Je veux vraiment aller mieux. Malgré le fait que depuis toujours, j'ai des réticence sur les psy et compagnie...

    On verra bien !

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  6. Check !! ;)
    Bizous !! <3

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