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mardi 24 avril 2012

Confiance en soi ? Lol.




Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours été plutôt malmené par les autres, par ma famille aussi. Je ne suis pas capable de dire pourquoi. 


En primaire, déjà, des "gangs" se montaient contre moi. Des filles se moquaient de moi. On me laissait souvent seule a la récréation. Je n'étais pourtant pas méchante, pas sauvage. Je n'avais pas l'impression de faire parti de ces gens "mal habillé" qu'on laisse de coté parce qu'ils sont pauvres. Je n'avais qu'une amie : Cynthia. Nous faisions beaucoup sourire les gens, car elle était blonde platine, et moi noir ébène ! Mais son père, gendarme, a été muté en île de France. Ça m'a anéanti lorsqu'elle est partie.
A la cantine, nous étions installé sur de grandes tables par classe, garçons et filles séparés. J'étais demi-pensionnaire, j'y mangeais tout les jours. Seulement, dès que des externes mangeaient exceptionnellement a la cantine, moi, on me virais. On me mettait a la table des "CLIS". C'était une classe d'enfants a problèmes, des retards mentaux, des handicaps physiques... Je me sentais encore plus rejeté. Vous savez comment sont les gosses. On se moquait encore plus de moi, parce que j'étais a leur table... Un jour, l'un des "CLIS" s'est levé, et est monté sur la table avec un couteau dans les mains, en menaçant tout le monde. Je ne me sentais pas en sécurité, je ne voulais plus manger.


Au collège, la vie a continuer a me mettre des baffes. Seulement, maintenant, les garçons aussi se moquaient de moi, toujours sans que je sache pourquoi. Même mon père s'y était mis. Maudite puberté... Il m'appelait "calculette" alors que j'avais 3 boutons sur le visage... Depuis ce jour, je n'en ai plus jamais eu, car je me sentais blessé d'entendre ca de sa bouche... Certaines filles s’évertuaient a raconter des choses sur moi, fausses bien sur... Au collège, tout est prétexte a moquerie. Absolument tout. Mes yeux verront (oui, j'ai les yeux bleu ciel avec une tache marron qui me prend un quart de l'oeil droit) en ont prit pour leur grade : "t'es fini a la pisse", "wouaf ! allez husky !" et j'en passe... Mes cheveux qui frisaient lorsqu'il pleuvait, on m'appelait "la sorcière". Je n'étais pourtant pas grosse a l'époque (je le sais avec le recul que j'ai maintenant), mais ils ont tout fait pour que je me sente mal dans mon corps. Mon père m'appelait "gros cul". Affectueux ? Non. Dégradant... Mes sourcils, trop épais : vu que mon prénom est Emmanuelle, la relation avec ce présentateur d'M6 était trop facile... On disais de moi que je ne m'épilais pas, je pensais qu'en 5ème, c'était normale. Un soir, je suis rentré, j'ai pris la rasoir de mon père, et j'ai tout rasé. Les jambes, les bras, les aisselles, et tout les poils pubiens... Je me suis "tailladé" les sourcils a coup de rasoir, pensant que c'était comme ça qu'on faisait. En 4ème, j'ai réussi a intégré un "groupe". Je venais au collège avec le sourire. Et puis il y a eu des disputes, des "toi t'es plus ma copine"... Des filles quoi... Et je me suis écarté...


Au lycée, j'étais interne. Je ne me suis intégré a aucun groupe, je me suis efforcé de m'entendre avec tout le monde. Au début, c'était sympa, ca me changeait beaucoup de ce que j'avais connu auparavant. Mais j'étais en section Secrétariat, dans une classe remplie de fille comme j'en avais connu au collège... Ça a tenu un an. Je me suis retrouvé de nouveau en solitaire. Mais ca me pesais moins... Je suis arrivé en Transport, mon rêve, mon but ultime ! Une classe de mec. Cette foi ci, super entente avec tout le monde, mais ce sont les profs qui n'ont pas apprécié. On m'a traité de meneuse de bande... Le jour ou je me suis faite renvoyé de cette école, je suis partie sans aucun regret, je n'ai prévenu personne. Et je n'ai manqué a personne.


J'ai recommencer mes études, dans une nouvelle ville, un nouveau secteur, une nouvelle école... Et la, tout a bien été. Je me suis parfaitement intégré a l'école, je discutais avec tout le monde... Je suis devenu gothique, ce qui donnait l'impression aux autres que j'étais une fille forte, avec une carapace d'acier ! Je cachais mon corps sous de longue robe en velours, je me noircissais le regard pour faire fuir mes "agresseurs"... Deux années de bonheur ! Jusqu’à ce que l'amie qui m'a présenter mon homme se mette a me faire détesté de tout le monde parce que je lui avais "volé" son meilleur ami... Je devais partir en voyage en Allemagne, ma chef n'a pas voulu me faire de mot comme quoi elle avait besoin de moi a l'entreprise. J'ai démissionné. Et je n'ai plus jamais mis les pieds dans cette école. Je ne voulais pas revivre encore cette humiliation, se rejet. Je ne voulais pas qu'on puisse encore me faire du mal, et je n'ai jamais eu les armes pour me défendre. Souvent je regrette mon choix d'avoir quitter mon école, parce que ce métier, c'était devenu plus qu'une passion. J'avais des tonnes de projets, et tout s'est écroulé, juste parce que quelqu'un a voulu me faire du mal...


On me dit que je n'ai pas confiance en moi. On me dit que je me dévalorise tout le temps. On me dit que je n'aurai pas raté ma vie si j'avais fini mes études. Mais est ce qu'on m'a vraiment laisser le choix ? Est-ce que tous ces gens, qui m'ont fait du mal, se sont rendu compte a un moment donné dans leur existence qu'ils avait bousillé la mienne ? J'ai commencer ma vie avec un petit bouclier, qui en a tellement pris dans la gueule, qu'il s'est éclaté. Et ça continue, avec mon père qui ne me respecte toujours pas... "T'a vu ton cul ? T'a vu comme t'es grosse ?".....










[EDIT] J'ai fait une suite a cet article : Réflexion sur mon article d'hier

19 commentaires:

  1. ca fait parfois du bien de se livrer ainsi, j'espère que ce fut le cas pour toi! j'espère aussi que tu iras mieux, que petit à petit avec ton homme, ta famille, tu prends confiance en toi!
    Mets les choses aux clair avec ton père, ce ne sont pas des choses qu'on dit, en tout cas, pas un père!
    je pense fort à toi

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  2. J'ai connu ça pendant longtemps et je peux confirmer que c'est tellement horrible, tellement dur et tellement injuste qu'il est difficile de s'en relever, de se reconstruire après.
    Maintenant que je suis maman et indépendante, j'ai repris plus confiance en moi et ça fait un bien fou! Mais bon je ne l'ai pas fais seule, j'ai eu l'aide de l'Hom, de mes enfants et des personnes qui me sont proches.
    On peut tous changer mais ça prend du temps et beaucoup d'énergie. Il faut se laisser porter par l'amour et les encouragements des gens qui nous aiment et ignorer les autres. Après tout, c'est triste à dire mais il n'y a que votre petite famille qui compte!
    Bizzz ma belle!

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  3. Je ne sais que dire, je trouve ça tellement triste, tellement dur....C'est profondément injuste.....
    Pour ton père je préfère me taire parce que là ce sont des insultes qui me viennent, on ne traite pas sa fille ado de "gros cul", ni de "calculette", point!!!!!!!!!!!
    Je t'envoie plein de réconfort, plein de courage, tu remonteras cette foutue pente, avec ton homme et tes enfants, c'est tout ce qui compte....♥

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  4. Ah, les critiques sur le physique... Rien de tel pour faire cogiter une personne... C'est souvent gratuit, méchant, et ça peut t'obséder pendant des années !! Dis-donc qu'est-ce que c'est rentable !!

    Perso en prépa, avec cet entourage de hyènes je n'arrêtais pas d'étirer mes vêtements au niveau de la taille pour ne pas qu'on voie mes bourrelets (j'avais perdu 20 kg entre le début et la fin du lycée), ça faisait rire les abrutis de ma classe... Et je n'avais jamais été aussi mince mais aussi mal dans ma peau non plus !!!

    Après, on a toujours le choix, déserter (même si le terme est péjoratif) ou persister dans l'affrontement ; tout dépend où est le seuil de tolérance de chacun. En ce qui me concerne, c'est l'eczéma : quand j'en ai, il est temps de changer des choses, c'est mon corps qui me le fait savoir... J'ai persisté en prépa, tant bien que mal, et pour des stages aussi où j'étais devenue la paria... J'y allais à reculons, c'était l'enfer, mais il le fallait... Si j'avais pu j'aurais fait comme toi (et il faut du courage aussi pour tout envoyer bouler) !!

    Ne regrette pas tes choix (si tu les as faits c'est qu'il y a avait une raison ; quelques temps après ça peut paraitre futile mais sur le coup c'est pas si facile à vivre), n'imagine pas ta vie telle qu'elle aurait pu être, profite de celle-ci, de ta famille et laisse de côté les gens qui te sont toxiques. Peut-être es-tu trop gentille, trop effacée... Une "proie" en quelque sorte pour des gens malveillants... Laisse-les de côté, sois heureuse, c'est la meilleure revanche sur ces gens que tu pourras avoir !! :)

    Keep smiling !! Bizous !

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  5. Je ne peux qu'être en accord avec le discours de Nat qui comme souvent sait trouver les mots justes.

    Notre passé nous façonne et il peut aussi nous aider à grandir et changer, prendre confiance en soi.
    Toi tu n'as pas besoin de changer et comme les autres qui t'ont tant fait de mal ne changeront certainement pas, il ne te reste plus qu'à te concentrer sur ceux que tu aimes et qui t'aiment, tu es forte, courage à toi ! <3

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  6. Je me reconnais un peu dans ce que tu écris. Les enfants et ado sont vraiment méchants entre eux !!! J'ai fait une petite dépression en 3ème, n'en pouvant plus des moqueries des autres qui duraient depuis l'école primaire. Puis au lycée, j'ai rencontré "mon meilleur ami" (je le mets entre guillemets parce qu'il m'a mise plus bas que terre 6 ans après) là tout était plus facile, lui était bien intégré, on me laissait plus ou moins tranquille, mais j'en ai beaucoup souffert et je suis sure que mon manque de confiance en moi vient de là aussi...
    Les pères sont aussi parfois blessants, le mien se croyant drôle m'appelait "gros porc" quand j'avais 13 ans, déjà qu'au collège j'entendais tout le temps "grosse vache", je te laisse imaginer l'image que j'avais de moi.
    J'espère que ça t'a fait du bien de l'écrire, de te confier, ce sont des choses à ne pas garder en soi... personnellement j'en parle rarement, j'ai "honte" !
    J'espère aussi qu'en tant que maman tu arriveras petit à petit à sortir de ça et à gagner un peu de confiance en toi et tu sais, tu as tout le temps de reprendre une activité, des études, peut être pas dans les mois qui viennent parce que tu vas être très occupée ;) mais qui sait ce que l'avenir te réserve ?!
    Je t'envoie plein de bisous et de courage et sois heureuse avec ton homme et tes bientôt 2 enfants, c'est bien là ce qui compte le plus !!

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  7. je te l'ai souvent dit, quand je lis tes billets je me retrouve (bon en dehors du coté gothique, que je n'ai jamais osé franchir, et des écoles avec que des garçons, en coiffure c'est plutôt l'inverse ^^)
    ta confiance est en toi, tu te fais confiance quand tu t'occupe de ta fille, bientôt de ton bébé, et les autres on les emm**** !! c'est en tout cas ce que j'ai fini par faire pour moi, et finalement je ne m'en porte pas plus mal ;) même si je l'avoue je redoute tjs un peu les remarques (notamment sur mon poids) quand j'assiste à des réunions de famille.
    J'ai tiré un trait sur tout ce qui me rattachait à l'école/collège/lycée, je n'ai gardé que 2 vraies amies de cette époque et quelques contacts avec des filles de l'école de coiffure. et je me suis reconstruite après.
    J'espère que ça t'a fait du bien d'écrire tout ça, d'évacuer tes sentiments... ne regarde plus en arrière, évite ceux qui te font souffrir (genre faut que ton papa se calme sur les remarques hein, c'est loin d'être constructif ou de montrer comme il est fier de toi et des beaux petits enfants que tu as avec toi!!! peut être que ta maman pourrait lui en glisser un mot ou 2 - a moins qu'il ne lise ce blog directement ^^) et concentre toi sur tes ami(e)s de maintenant, ceux qui désormais t'apportent du positif(et tu peux me compter dedans :) )
    Je t'envoies tout pleins de bizoux, et sans paraître impatiente j'espère que ton prochain billet sera pleins de joie, la joie d'avoir enfin ton bibou !!! :)
    (non, non, je suis pas une fille impatiente.... enfin juste un peu ^^ hiiiiiiiiiiiiii !!)

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  8. Je ne suis pas issue d'une famille ou on se parle. Je dois continuellement prendre sur moi. L'éloignement est la seul solution que je vois.
    Ca m'a fait prendre conscience de pas mal de chose d'avoir écris cet article, sans que je m'en rende compte. C'est en cogitant cette nuit que j'ai réaliser...
    J'espere que tout ca va changer, et vite !
    Merci de m'avoir lu, et merci de tes mots :)

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  9. Ma reflexion m'a poussé a me dire que je ne serais jamais heureuse tant que je vivrai dans la ville qui m'a humilier. Vois même dans le département entier.
    Je pense que nous allons partir, bientot. Ailleurs.
    Et recommencer a zero avec mes deux lous et mon homme, ca ne pourra etre que bien !
    Merci de tes mots, j'admire ta force d'avoir réussi a surmonter ca !

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  10. C'est assez drôle, je me retrouve beaucoup dans ton article, moi aussi on me laissait beaucoup à part, soit parce que ma mère n'avait aucun goût pour m'habiller, soit parce que j'étais trop grosse, soit parce que j'avais de trop bonnes notes...etc. En tout cas ton témoignage me touche énormément !

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  11. Oui c'est facile d'attaquer les gens sur ce genre de point. On se sent fort ! C'est tellement minable...

    Je pense pas qu'il faille du courage pour fuir comme je l'ai fait. Au contraire. Je n'ai pas eu le cran d'affronter les choses, j'ai fuit. C'est lâche. Toi au moins tu as eu cette force, et tu peu t'en féliciter.

    J'imaginais pas du tout ma vie comme elle est a l'heure d'aujourd'hui y'a 5 ans ! Je me voyais infographiste, peut etre meme freelance ! Et finalement, je suis qu'une cas sos, mere au foyer sans revenu, mais avec bientot 2 enfants et un mari super...

    Merci de tes mots, qui comme d'habitude tombent juste ! :)

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  12. Quelle horreur cette façon qu'a eu ton pere de t'appeler... J'ai eu le droit a "boudin", "bouledogue", "gros cul", mais jamais a ce genre de chose...
    Tous ce qu'on nous a fait subir reste encré en nous, qu'on en soit conscient ou pas, et ca nous aide, ou nous bloque dans notre avancé... C'est triste, a 24 ans d'être encore bloqué par des railleries de gamin ! Je comprend ton sentiment de honte, c'est d'ailleurs pour moi la première foi que j'en parle.
    J'espere que l'avenir sera plus joyeux, j'envisage de me former (dans la photographie pro), advienne que pourra !
    Et j'espere que toi aussi, un jour, tu trouvera la force de surmonter ca.
    Plein de bisous et de courage a toi aussi, et merci pour ton mot :)

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  13. J'ai confiance en moi quand je m'occupe de ma fille, mais uniquement lorsque je suis seule avec elle. Dès qu'il y a quelqu'un, ma mère ou autre, je me sens réduite, comme si j'étais moins que rien, incapable.
    Je pense faire comme toi, tirer un trait sur ce qui me ratache a cette période (en déplaise a tout les fouineurs sur FB qui ne sont la que pour voir si leur vie est mieux que la mienne !).
    Ca m'a fait du bien d'ecrire, pas sur le coup, car évidement, ce genre d'article me fait chialer comme une madeleine ! Mais vu comme j'ai cogité cette nuit, ca m'a fait comprendre pas mal de chose.
    Mon père ne se calmera jamais. Les relations familiale chez nous c'est un peu comme "Brice de Nice" (désolé pour la référence en carton). Des vannes, des "cassages" sans arret... On s'en fou si ca fait mal, tant que ca fait rire les autres...
    Merci a toi, et a la blogo d'être la ! J'avais perdu foi en le genre humain, et je reprend peu a peu confiance, grace a toi, et aux autres ! Alors MERCI !
    Et t’inquiète, il va bien finir par se pointer Enzo !!

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  14. Je comprend pas cet attrait pour la méchanceté que peuvent avoir les gosses... Ca m'arrive de tombé sur des films ou des reportages avec des gosses qui vivent ce qu'on a vécu, et ca me fait mal, ca me fait pleurer !
    Je comprendrai jamais les êtres humains...

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  15. Si, je pense qu'il faut du courage aussi pour avoir le cran de laisser tomber une situation qui peut être plus confortable pour se lancer dans l'inconnu... Si j'ai continué c'est parce je craignais de perdre ce que j'avais investi, une question de rentabilité et de flemme aussi, quitte à souffrir, faire semblant, pleurer tous les jours, prendre sur moi jusqu'à m'en rendre malade, je vois plus ça comme du défaitisme et de la soumission...

    Et tkt, moi aussi dès que je fais des plans ça foire !!! ;) Le tout est que tu t'épanouisses dans ta vie, et attention je vais me fâcher : TU N'ES PAS UNE CASSOS !!!

    Je suis contente si, malgré les pavés, mes mots peuvent t'aider... :)

    Bizous !

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  16. J'ai vécu la même chose que toi... J'ai passé ma scolarité seule, jamais un ami à qui parler.. Les conseils de ma mère "ne te défends pas, tu serais renvoyée"... Je me suis enfermée dans le silence et une pseudo carapace... Jusqu'au jour où j'ai quitté l'école, puis ma famille, mon pays. Petit à petit je me reconstruit, ça prends du temps, mais je crois que j'y arriverai un jour. :-)
    Excuse moi de développer sur ton blog, mais ton article m'a beaucoup émue... Je m'y retrouve tellement... Courage... Tu vaux tellement mieux que tout ces c***... Courage !

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  17. Je l'ai entendu ça le "ne te défends pas, tu serais renvoyée". Mais de toute façon j'en aurai pas eu la force physique, et seul ca les aurait calmé !
    Ne t'excuse pas ! C'est cet échange qui fait que j'aime bloguer ! J'aime que ca aille dans les deux sens ! Si l'envie te prend de vouloir en parler plus en profondeur, n’hésite pas !
    Courage a toi dans ta reconstruction :)

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  18. Merci ! En tout cas ton article m'aura permis de découvrir ton blog, que je prends, depuis, beaucoup de plaisir à lire ! :)

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